700,000 Québécois entendent des bruits en permanence, des bruits qu’ils sont les seuls à entendre : des acouphènes. Jusqu’à maintenant, ils étaient difficiles à dépister. Mais une nouvelle technique développée à l’Université de Montréal y arrive beaucoup mieux, en identifiant avec précision les fréquences et intensités de ces sons fantômes. Sylvie Hébert, professeure et chercheuse à l’École d’orthophonie et d’audiologie et co-inventeur de l’appareil qui permet de mieux diagnostiquer les acouphènes, en parle à l’émission « Le Code Chastenay » à Télé-Québec.